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Origine : don de la commune de Saint-Dolay (56). Rapporté par René B. et René P. en 2010

Le filtre se pose sur un bidon à lait et sert à filtrer le lait après la traite de façon à éliminer les corps étrangers (poils, paille, …).

Hache pour équarrir ou pour abattage ?

travail léger. Grattage superficiel

La varlope est un rabot munie d'une grande semelle et d'une poignée, utilisée pour raboter les longues pièces en bois.

Ensemble de 5 engrenages à angle droit central avec double rangée d'alluchons. On retrouve l'engrenage pour le fonctionnement de la roue à aube et aussi celui pour transmettre la force aux étages du moulin.

Diable avec ossature en bois (3 barres latérales) et socle en fer, roue en plastique, renforts métalliques aux poignées. Sert au transport des sacs de blé ou farine.

Eclairer dans les écuries, granges, caves, remises…Lampe de signalisation

Vivier au Court est située à mi-chemin entre Charleville-Mézières et Sedan, à moins de 8 kms de la frontière belge. Au XIIème siècle, les hameaux se situaient à la limite des royaumes de France, de l'évêché de Liège et du duché du Luxembourg. Pendant la Grande Guerre et la seconde guerre mondiale, la ville de Vivier au Court, comme tout le département des Ardennes fut en territoire occupé déclaré zone interdite. Après le 10 mai 1940, lors de la percée allemande à Sedan, une grande partie des Vivarois partirent sur les routes fuyant l'avancée des troupes ennemies, emportant dans leurs bagages leurs outils qui étaient leur gagne pain. Ce fut le début de l'exode. Les autorités militaires les dirigèrent essentiellement vers l'Ouest, en Vendée et dans les Deux-Sèvres. Une partie des Vivarois se réfugia en Vendée, notamment dans la ville de Mareuil sur Lay. Ils ne purent rentrer chez eux qu'après la libération de leur région en septembre 44. En attendant des jours meilleurs, les vivaroises se remirent au travail, blanchisseuses et repasseuses reprirent les battoirs et les fers à repasser. Plus tard, les années ayant passé, un comité de jumelage a été crée entre les deux villes Vivier au Court et Mareuil sur Lay, qui ont gardé des souvenirs communs.

Apparaît comme un modèle de transition entre les modèles de socs les plus anciens et les charrues modernes à soc plat.

La pointe avant épouse le fond de la raie entre les deux sillons. Les montants latéraux se relèvent de telle sorte que les dents de l'arrière grattent le haut des sillons. Voir Leclerc-Thouin, 1844.