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Outils et traditions (St-Aignan-de-Grandlieu)

Vivier au Court est située à mi-chemin entre Charleville-Mézières et Sedan, à moins de 8 kms de la frontière belge. Au XIIème siècle, les hameaux se situaient à la limite des royaumes de France, de l'évêché de Liège et du duché du Luxembourg. Pendant la Grande Guerre et la seconde guerre mondiale, la ville de Vivier au Court, comme tout le département des Ardennes fut en territoire occupé déclaré zone interdite. Après le 10 mai 1940, lors de la percée allemande à Sedan, une grande partie des Vivarois partirent sur les routes fuyant l'avancée des troupes ennemies, emportant dans leurs bagages leurs outils qui étaient leur gagne pain. Ce fut le début de l'exode. Les autorités militaires les dirigèrent essentiellement vers l'Ouest, en Vendée et dans les Deux-Sèvres. Une partie des Vivarois se réfugia en Vendée, notamment dans la ville de Mareuil sur Lay. Ils ne purent rentrer chez eux qu'après la libération de leur région en septembre 44. En attendant des jours meilleurs, les vivaroises se remirent au travail, blanchisseuses et repasseuses reprirent les battoirs et les fers à repasser. Plus tard, les années ayant passé, un comité de jumelage a été crée entre les deux villes Vivier au Court et Mareuil sur Lay, qui ont gardé des souvenirs communs.

Eliminer les impuretés dans le lait avant de le mettre en bidon

Collection CICPR

Hache pour équarrir ou pour abattage ?

Embrayage à vitesses, entraînement par roues à grand diamètre, lame de 16 dents, levier de réglage et de pointage, bielle en acier

Puzenat (?) Presque identique à la précédente (n°257), mais sans inscription.

Donné en 2010 par André Roul (ancien dirigeant syndical chez Huard)

Pour aller chercher le lait à la ferme ou à l'épicerie