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Pour démontage roues de charrette

Equipement traditionnel des puits de ferme ou de village pour puiser l'eau du puits avec un seau.

Origine: Joué-sur-Erdre. XIXe siècle. Voir Villermé et Benoiston de Chateauneuf, Voyage en Bretagne, 1840. L'instrument étant incomplet, difficile d'identifier. Soc pointu typique des charrues bretonnes anciennes (Cf Villermé)

Percer des trous dans le bois à la main avec un jeu de mèches.

Diable avec ossature en bois (3 barres latérales) et socle en fer, roue en plastique, renforts métalliques aux poignées. Sert au transport des sacs de blé ou farine.

Milieu XIXe siècle. Berg était le chef de la fabrique d'instruments aratoires de l'école de Grand-Jouan à Nozay.

Main de fer utilisée pour prendre le grain ou la farine dans les sacs.

François Sigaut (d'abord déposée aux Ruralies à Niort en 1987). Utilisée dans la commune de St-Martin-de-Lenne (12130) - 208 hab. altitude 610 m. Nord du parc naturel des Grands Causses.cf. www.vivreaupays/fr/communes/com75.htm

Outil très répandu dans la région. Utilisé pour le binage, avec un long manche pour le travail debout.

Don de M. et Mme RINGEART (Saint Aignan). Les plaques publicitaires étaient fournies par les fournisseurs de matériels agricoles lors d'un achat. Les machines à traire se sont largement répandues dans les fermes dans les années 1960.

Vivier au Court est située à mi-chemin entre Charleville-Mézières et Sedan, à moins de 8 kms de la frontière belge. Au XIIème siècle, les hameaux se situaient à la limite des royaumes de France, de l'évêché de Liège et du duché du Luxembourg. Pendant la Grande Guerre et la seconde guerre mondiale, la ville de Vivier au Court, comme tout le département des Ardennes fut en territoire occupé déclaré zone interdite. Après le 10 mai 1940, lors de la percée allemande à Sedan, une grande partie des Vivarois partirent sur les routes fuyant l'avancée des troupes ennemies, emportant dans leurs bagages leurs outils qui étaient leur gagne pain. Ce fut le début de l'exode. Les autorités militaires les dirigèrent essentiellement vers l'Ouest, en Vendée et dans les Deux-Sèvres. Une partie des Vivarois se réfugia en Vendée, notamment dans la ville de Mareuil sur Lay. Ils ne purent rentrer chez eux qu'après la libération de leur région en septembre 44. En attendant des jours meilleurs, les vivaroises se remirent au travail, blanchisseuses et repasseuses reprirent les battoirs et les fers à repasser. Plus tard, les années ayant passé, un comité de jumelage a été crée entre les deux villes Vivier au Court et Mareuil sur Lay, qui ont gardé des souvenirs communs.

Puzenat (?) Presque identique à la précédente (n°257), mais sans inscription.