Corps de charrue fourni par les fonderies aux artisans locaux à partir du milieu du XIXe siècle. A la commande, les artisans faisaient imprimer leur marque par la fonderie
Porté à la ceinture par le faucheur, avec un peu d'eau à l'intérieur, pour garder sous la main en permanence la pierre à aiguiser. (voir Agrimuse, la pierre à faux, juin2010, p. 17)