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Manque les rouelles

sur le versoir B5, très apprécié dans la Presqu'île guérandaise, voir charrues de la Presqu'île guérandaise.

François Sigaut (cf. CI-2010-022). Charrue adaptée au labour en plaine (sols d'alluvion ou calcaires).Provient d'une petite commune à moins de 10 km au sud-est de Belfort. Récupérée au coin d'un champ en 1969 ou 1970.

Labours à plat. Début du XXe siècle. Voir Christian Bouvet, "Huard", dessin du type M - p.47

Fabrication artisanale / Tiges torsadées pour renforcer la courbure de l'age.

Corps de charrue fourni par les fonderies aux artisans locaux à partir du milieu du XIXe siècle. A la commande, les artisans faisaient imprimer leur marque par la fonderie.

Originalité : avant-train fait de deux petites roues (comme les butteurs à blé). Usage inconnu.

Permet les labours à plat, comme les brabants doubles

Après labour à la charrue à vigne, la décavaillonneuse permet d'enveler la bande de terre qui entoure les ceps : le cavaillon (Voir Dictionnaire Lachiver). La pointe du soc est arrondie pour éviter de blesser les ceps.

Fabrication artisanale. Permet le labour à plat comme les brabants réversibles. Une forme de réaction des artisans locaux devant les succès du brabant réversible de fabrication industrielle?

Soc avec une languette pour augmenter la largeur de travail (dérivé du "fer de lance"). A la commande, les artisans faisaient imprimer leur marque par la fonderie.