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Charrue typique de la région de Nozay au début du XIXe siècle. Voir Rieffel, AOF, 1840.

Origine: Templé, Nort sur Erdre. Forte charrue de défrichage. Mancherons manquants.

Achat par le maire René Philippot (père), pendant l'entre-deux-guerres chez Jean Viard pour l'entretien des chemins de la commune de Treffieux (44170). Les chemins défoncés par les roues de charrettes étaient "refaits" au printemps.

Origine : Du Rusquet (Ligné). Forte charrue de défrichement, arrachage de vigne, défoncement (versoir très court)

Charrue typique de la région de Nozay au début du XIXe siècle. Voir Rieffel, AOF, 1840.

Fabricant : EBRA (Etablisst Beauvais-Robin Angers). Labours à plat. Début du XXe siècle.

Après labour à la charrue à vigne, la décavaillonneuse permet d'enveler la bande de terre qui entoure les ceps : le cavaillon (Voir Dictionnaire Lachiver). La pointe du soc est arrondie pour éviter de blesser les ceps.

Type de charrue répandue pendant l'entre-deux-guerres seulement dans la région de Guérande - St-André-des-Eaux (Presqu'île guérandaise). Voir fiche "charrue à teurmalière".

François Sigaut (cf. CI-2010-022). Charrue adaptée au labour en plaine (sols d'alluvion ou calcaires).Provient d'une petite commune à moins de 10 km au sud-est de Belfort. Récupérée au coin d'un champ en 1969 ou 1970.

Pièce de fonderie.

Utilisée pour le semis sous raie. Mais peut servir à tout type de labour avec un attelage léger. Dite "charrue patte de bique" par les paysans, en référence aux initiales PDB.

François Sigaut (cf. CI-2010-022). Charrue adaptée au labour en plaine (sols d'alluvion ou calcaires).Provient d'une petite commune à moins de 10 km au sud-est de Belfort. Récupérée au coin d'un champ en 1969 ou 1970.